bonsoir je souhaite savoir si je peux effectuer un paiement en ligne en toute sécurité avec comme seule protection le windows defender (mon antivirus venant de périmer). nb/j'utilise une carte bancaire virtuelle à numéro à usage unique mais je suis tout de même obligée d'utiliser l'identifiant qui lui est à usage ponctuel. merci de Procédezcomme suite pour vérifier si votre ordinateur est espionné. 1. Appuyez en même temps sur les touches Windows et R. Et puis, tapez cmd. 2. Dans la fenêtre affichée, tapez ipconfig et appuyez sur la touche Entrée. Et après, retrouvez votre adresse IP. 3. Lescybercriminels disposent de centaines d'outils leur permettant de voler des identifiants, de pirater des pare-feu et systèmes de cybersécurité et de commettre bien d'autres crimes. Le plus inquiétant de ces outils est sûrement le keylogger ou enregistreur de frappe. Il s'agit d'un type de logiciel malveillant que vous ne voulez surtout Vérifierl’activité de sa connexion est donc une première vérification qu’il est possible de faire. De même, le keylogger doit se lancer à chaque démarrage de Windows, vous pouvez Unefois installé, tout est géré de façon automatique, mais concrètement voici comment le logiciel fonctionne : dans sa version la plus simple (gratuite), KeyScrambler chiffre toutes les frappes effectuées au clavier sur 33 navigateurs Internet, dont les plus incontournables (Firefox, Chrome, Internet Explorer, Opera, etc.). Voici un exemple sur la messagerie Yahoo : 7SxXWa. Vous avez des doutes sur la sureté de votre machine ? Vous avez vu des modification bizarres, que vous n’avez pas faites ? Peut-être même un mot de passe changé ? Et vous n’êtes pas du genre à soupçonner votre poisson rouge … Il y a pleins de façons de se faire pirater un compte, parmi les moins connues de l’utilisateur lambda, il y a le keylogger. /!\ Tutoriel exclusivement Windows /!\ Qu’est-ce qu’un Keylogger ? Traduction un Enregistreur de touches Concrètement c’est un programme espion, qui enregistre toutes vos entrées clavier, avec le nom de la fenêtre qui à le focus au moment de la saisie, etc … qui tourne sur la machine de la victime, le plus souvent, c’est une application client, et qui envoie les données centralisées sur l’application serveur, s’exécutant elle sur le poste du pirate. En gros, tout ce que vous tapez au clavier va être connu de votre indésirable espion, et il connaitra aussi dans quel contexte vous avez tapé ceci et cela. Il peut donc récupérer facilement des mots de passe, des données personnelles, espionner vos conversations écrites, etc … Comment ça marche ? Le structure classique de ces derniers est tout d’abord d’être des processus, et ils possèdent en général ces caractéristiques Lancement au démarrage de la machine Écriture de clés dans la base de registres Windows Utilisant les hooks clavier et les threads, pour une utilisation minimale de CPU Utilisant une connexion TCP via les sockets pour envoyer les logs Comment s’en débarrasser ? Alors, il faut savoir que il n’y a pas de procédures type » à suivre pour repérer un tel malware logiciel malicieux = une mauvaise herbe dans un jardin !, et que, sachant qu’il existe de multiples façons de programmer un keylogger, et bien aucune méthode ne sera vraiment sûre à 100%, sauf si on connait déjà l’origine du programme et son fonctionnement bien sûr. Je vais donc ici, à tâtons, tenter de nous donner le plus de chances possible pour y parvenir. Premier réflexe, afficher le Gestionnaire de tâches, en faisant Ctrl + Shift + Echap » ou alors Ctrl+Alt+Suppr » puis en cliquant sur Gestionnaire de tâches ». Ensuite, choisissez l’onglet Performance » puis cliquez sur Moniteur de ressources ». Enfin, pour trier, cliquez dans le panneau de gauche sur la barre » Réseau ou sur l’onglet Réseau !. Vous devriez avoir quelque chose ressemblant à ceci Moniteur de ressources Et vous pouvez donc voir ici tout les processus qui envoient ou reçoivent des paquets, bien évidemment, peut-être qu’au moment ou vous regardez le keylogger n’envoie ni ne reçois rien, mais en laissant le moniteur ouvert, il gardera en historique tout les programmes qui ont eu une interaction avec votre carte réseau. Ensuite, on note le nom du processus suspicieux, on fait une recherche sur le net, et très souvent on trouvera que c’est un processus natif à votre machine, totalement inoffensif. Si maintenant, vous avez un doute, un processus avec un nom inconnu, qui envoie toutes les heures des paquets j’exagère sur le niveau de surveillance que j’apporte au processus p , vous pouvez utiliser un sniffer réseau, pour surveiller les trames envoyées par celui-ci. Je m’explique Un sniffer réseau permet d’analyser les trames échangées avec votre machine et l’exterieur, je vous conseille d’utiliser Wireshark car il est gratuit, extrêmement puissant, disponible en français et possède une grande communauté d’utilisateurs besoin d’autres raisons ?; Et ici on écoutera les trames qui transitent sur via le protocole TCP, et sauf si elles sont cryptées, on pourra voir le contenu ASCII le texte, ce que vous avez tapé en clair. Il existe beaucoup de tutoriels pour apprendre à utiliser Wireshark, et comme ce n’est ici pas le sujet, je ne développerais pas. Toutefois, sachez que cette manipulation est vraiment basique et ne prend que très peu de temps à être assimilée pour une personne ayant des connaissances de bases dans l’informatique. Vérifier ses clés registres Faites Menu Démarrer > Exécuter, puis tapez regedit » et entrez. La gestion de la base de registre s’ouvre, et vous allez vous rendre, en naviguant dans l’arborescence, dans HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Run Puis vérifiez les chemins de chaque programme, car c’est ICI même que sont inscrites les clés registres indiquant le chemin des programmes à exécuter au démarrage de Windows ou aussi dans l’Observateur d’évènement, accessible en tapant » Journaux d’évènements » dans Démarrer > Exécuter . Si malgré tout cela, vous voulez encore procéder à des vérifications, il existe un petit soft, permettant même de repérer des keyloggers intégrés dans un logiciel saint Keylogger Detector. Et si le logiciel est récalcitrant à la désinstallation, mettez lui donc un coup de pression, en le forçant à se désinstaller avec IOBit Uninstaller. Vérification des services Nous allons aussi procéder à une petite vérification des services, car ceux-ci peuvent envoyer des informations, au travers de Même procédure qu’au dessus, ouvrez le gestionnaire de tâches. Repérez les processus qui tournent sur votre machine affichez les processus de tous les utilisateurs, et un à un, on va les analyser comme suit, faire un clic droit > Accéder aux processus » Puis vous devriez voir les services, surlignés en bleu, qui sont utilisés par l’instance de que vous avez dépliée ». On va ensuite ouvrir dans le Menu Démarrer et la barre d’éxécution ou appuyer sur la touche Windows + R, et entrez », et nous allons aller dans l’onglet Services » Cherchez ainsi, les services qui ont étés surlignés vous pouvez masquer les Services Microsoft, qui sont de confiance et ouvrez ensuite l’application en l’ouvrant de la même manière que Vous devriez avoir une description des services que vous cherchez, ainsi, regardez les services louches, servez vous d’internet pour aider à les répertorier Quand vous avez fait votre liste des services suspects utilisés par vous pouvez les arrêter dans puis décocher la case du Lancement au démarrage dans ce qui aura pour effet de ne plus démarrer ces services automatiquement. Voila pour ce qui est du repérage basique » pour trouver un logiciel espion sur son PC. Ici je ne fais pas de recherches poussées » comme le fait Keylogger Detector, mais personnellement, je préfère m’en sortir seul, avant d’avoir recours à des softs inconnus. Si vous voulez vous pouvez également télécharger MalwareByte ce logiciel est payant mais une version d’essai gratuite est disponible, puis lancer un SCAN. Ce logiciel va scanner vos fichiers, .dll, cookies et j’en passe … afin de mettre en isolement tout type de programme non-désirés. Il suffit ensuite de choisir manuellement les fichiers que l’on veut supprimer un à un ou en batterie. Bien sûr il existe des keylogger extrêmement performants, permettant même jusqu’à filtrer grâce à un hook, les entrées récupérées par le Gestionnaire de tâches, et de lui empêcher d’afficher son existence dans la liste ! Mais bon, souvent il y a d’autre défauts, ou encore des choses impossibles à cacher aux analyseurs bas niveau ! J’espère que vous avez trouvé cet article intéressant ! Juil 06, 2022 Ismail 6minutes de lecture Dans cet article, nous allons vous montrer comment installer et utiliser Composer sur différentes plateformes. Composer est un gestionnaire de dépendances pour PHP. C’est un outil simple et fiable que les développeurs utilisent pour gérer et intégrer des paquets ou des bibliothèques externes dans leurs projets basés sur PHP. Ainsi, ils n’ont pas à créer leurs pages ou applications web à partir de zéro. Pour vous aider à maîtriser cet outil, vous apprendrez également comment créer un projet PHP de base. Avant d’apprendre à installer Composer, assurez-vous que vous avez accès à l’interface en ligne de commande de votre système ou serveur. Installez et utilisez Composer avec des solutions d’hébergement web puissantes !90% DE RÉDUCTION Introduction C’est quoi un gestionnaire de dépendance?Définition du ComposerInstaller Composer1. Installation de Composer sur un hébergement mutualisé, Linux ou macOS2. Installer Composer sous WindowsGénérer et comprendre du script de chargement automatiqueMise à jour des dépendances de vos projets C’est quoi un gestionnaire de dépendance? Le gestionnaire de dépendances est un outil qui peut être utilisé pour gérer les dépendances d’un projet. Le gestionnaire de dépendances est un excellent concept. C’est principalement un outil pour installer, désinstaller et mettre à jour ces dépendances. Grosso-modo, un ensemble de mécanismes et permet également la création de packages vos projets qui peuvent être distribués. Qu’est-ce que la dépendance à Internet? JavaScript, CSS, HTML, etc. Définition du Composer Le logiciel Composer est un gestionnaire de dépendances sous licence libre GPL v3 écrit en PHP. Il permet à ses utilisateurs de déclarer et d’installer les bibliothèques requises par le projet principal. Cela évite aux développeurs d’avoir à utiliser toutes les bibliothèques qu’ils utilisent pour distribuer leurs projets. Par conséquent, pour les projets écrits en PHP, nous pouvons le considérer comme l’équivalent d’APT. Installer Composer Cette section vous montrera comment installer Composer sur un hébergement mutualisé et sur des systèmes d’exploitation tels que Linux, macOS et Windows. 1. Installation de Composer sur un hébergement mutualisé, Linux ou macOS Les commandes pour installer Composer sur un hébergement mutualisé, Linux PC ou serveur, et macOS sont les mêmes. Notez que Composer est préinstallé sur les plans d’hébergement mutualisé Premium et Business de Hostinger. Si vous utilisez l’un d’eux, sautez cette partie. Cependant, si vous découvrez qu’il est obsolète, vous pouvez mettre à jour Composer en exécutant cette commande php self-update Suivez ces instructions pour savoir comment installer Composer sur votre système Connectez-vous à votre compte d’hébergement en utilisant une connexion SSH. Vous pouvez apprendre à le faire grâce à ce tutoriel SSH. Téléchargez Composer depuis le site officiel en utilisant la commande suivante php -r "copy' ' Vérifiez la signature de l’installateur SHA-384 pour vous assurer que le fichier d’installation n’est pas corrompu. Tapez php -r "if hash_file'sha384', ' === 'e0012edf3e80b6978849f5eff0d4b4e4c79ff1609dd1e613307e16318854d24ae64f26d17af3ef0bf7cfb710ca74755a' { echo 'Installer verified'; } else { echo 'Installer corrupt'; unlink' } echo PHP_EOL;" La longue chaîne de caractères de la commande ci-dessus e0012edf…’ est la signature de l’installateur. Cette signature change à chaque fois qu’une nouvelle version de Composer est publiée. Donc, assurez-vous d’aller chercher la dernière version de SHA-384 sur cette page. Une fois que c’est fait, vous pouvez installer Composer localement ou globalement. L’installation locale signifie que le gestionnaire de dépendances sera stocké dans votre répertoire actuel, et que vous devez spécifier le chemin d’accès avant d’exécuter les commandes correspondantes. En attendant, l’installation globale vous permet d’exécuter Composer depuis n’importe quel endroit de votre système en le stockant dans le répertoire /usr/local/bin. Voici comment effectuer les deux méthodes Installation locale php Installation globale php -install-dir=/usr/local/bin -filename=composer Vous obtiendrez ce résultat All settings correct for using Composer Downloading... Composer version successfully installed to /usr/local/bin/composer Une fois que c’est fait, supprimez l’installateur php -r "unlink' Testez l’installation du Composer composer La ligne de commande renvoie ce résultat ______ / ____/___ ____ ___ ____ ____ ________ _____ / / / __ / __ `__ / __ / __ / ___/ _ / ___/ / /___/ /_/ / / / / / / /_/ / /_/ __ __/ / ____/____/_/ /_/ /_/ .___/____/____/___/_/ /_/ Composer version 2020-02-12 162011 2. Installer Composer sous Windows La mise en route de Composer sur une machine Windows est un peu différente. Aucune instruction en ligne de commande n’est nécessaire pour télécharger et installer le logiciel. Il suffit de suivre les étapes suivantes Installez PHP sur votre ordinateur. Nous vous recommandons d’utiliser XAMPP à cette fin, car le processus est simple et vous pouvez le terminer en quelques minutes. Une fois que XAMPP est installé, téléchargez la dernière version de Composer. Lancez l’assistant d’installation de Composer. Lorsqu’il vous demande d’activer le mode développeur, ignorez-le et poursuivez le processus d’installation. Une autre fenêtre s’ouvre et vous demande de localiser la ligne de commande PHP. Par défaut, elle se trouve dans C/xampp/php/ Après avoir spécifié le chemin, cliquez sur Suivant. Vous serez invité à entrer les paramètres du proxy. Laissez la case non cochée et sautez cette partie en cliquant sur Suivant. Ensuite, dans la dernière fenêtre, cliquez sur Installer. Une fois l’installation terminée, ouvrez l’invite de commande. Appuyez sur CTRL +R, tapez cmd » et cliquez sur OK. Tapez la commande suivante composer Excellent travail ! Vous avez maintenant Composer installé sur votre ordinateur Windows. Le programme d’installation ajoutera automatiquement Composer à votre variable PATH. Vous pouvez maintenant ouvrir l’invite de commande et exécuter le logiciel depuis n’importe quel endroit. Générer et comprendre Voici maintenant la partie intéressante – utiliser Composer dans votre projet PHP. Pour cela, vous devez générer un fichier Vous pouvez le considérer comme un moyen de rechercher des données dans une liste pour Composer. Ce fichier contient des paquets dépendances qui doivent être téléchargés. De plus, vérifie également la compatibilité des versions avec votre projet. Cela signifie que si vous utilisez un ancien paquet, vous le fera savoir afin d’éviter tout problème ultérieur. Vous avez la possibilité de créer et de mettre à jour vous-même. Toutefois, étant donné qu’il s’agit d’un tutoriel sur l’automatisation de tâches redondantes, nous vous déconseillons de créer le fichier manuellement. Voyons l’utilité de en créant un exemple de projet. Notre projet est un simple timer PHP, qui permet aux développeurs de connaître le temps d’exécution du code. C’est très utile pour le débogage et l’optimisation. Vous pouvez suivre ces étapes Créer un nouveau répertoire pour le projet. Comme notre projet est un timer, nous nommerons simplement le dossier phptimer. Pour ce faire, exécutez la commande suivante mkdir phptimer Accédez au répertoire nouvellement créé cd phptimer Trouvez un paquet ou une bibliothèque pour le projet. Le meilleur endroit pour y parvenir est Packagist, où vous trouverez des tonnes de bibliothèques pour vous aider à développer votre projet. Pour ce tutoriel, nous avons besoin d’un paquet timer minuterie. Pour l’obtenir, il suffit de taper timer dans la barre de recherche Comme vous pouvez le voir, plusieurs paquets de minuterie sont disponibles et chacun d’eux a un nom et une petite description de ce qu’il fait. Dans cet exemple, nous avons choisi phpunit/php-timer car il possède le plus de téléchargements et le plus des étoiles GitHub. Précisez le package souhaité pour que Composer puisse l’ajouter à votre projet composer require phpunit/php-timer Le résultat montrera la version de phpunit/php-timer Using version ^ phpunit/php-timer Le symbole du signe d’insertion ^ est défini comme l’option permettant une interopérabilité maximale. Cela signifie que Composer mettra toujours à jour le paquet jusqu’à ce qu’une certaine version brise le paquet d’une manière ou d’une autre. Dans notre cas, la plage de mise à jour du paquet est >= < car la version brisera la rétrocompatibilité. Pour des informations détaillées sur le versionnage dans Composer, consultez la page de documentation. Après l’exécution de la commande ci-dessus, votre répertoire de projet contiendra deux nouveaux fichiers – et – et un dossier nommé vendor. C’est dans ce répertoire que Composer stockera tous vos paquets et dépendances. Utilisation du script de chargement automatique Votre projet est presque prêt à démarrer, et la seule chose qui reste à faire est de charger la dépendance dans votre script PHP. Et heureusement, le fichier de chargement automatique de Composer vous permet de terminer ce processus plus rapidement. Pour utiliser le chargement automatique, écrivez la ligne suivante avant de déclarer ou d’instancier de nouvelles variables dans votre script require '/vendor/ Nous allons vous donner un exemple pour vous aider à mieux comprendre. Disons que nous voulons tester notre projet phptimer Ouvrez l’éditeur de texte nano pour créer un script nommé nano Ensuite, collez les lignes suivantes dans votre fichier

comment savoir si keylogger est installé